jeudi 28 juin 2018

Livres pour cet été !


BENOIT XVI (pape). - Libérer la liberté : foi et politique. - Paris, Parole et Silence, 2018. 227 pages.

BOURGEOIS, Daniel. – Jésus de Nazareth. – Paris, Payot Rivages, 2017.

CONFERENCE DES EVEQUES DE France. – La prière du Notre Père : un regard renouvelé. – Paris, Bayard, Le Cerf, Mame, 2017.

CONGREGATION POUR LA DOCTRINE DE LA FOI. - Considérations pour un discernement éthique sur certains aspects du système financier actuel. – Paris, Le Cerf, 2018.

CUCHET, Guillaume. – Comment notre monde a cessé d’être chrétien : anatomie d’un effondrement. – Paris, Le Seuil, 2018. 275 pages.

DEBILLY, Xavier. – La théologie au creuset de l’histoire : Marie-Dominique Chenu et son travail avec la Mission de France. – Paris, Le Cerf, 2018. 562 pages.

-DUFOUR, Xavier. –Dieu à l’école : plaidoyer pour un enseignement des religions. – Paris, Le Cerf, 2018. 165 pages.

FRANÇOIS (Pape). – Exhortation apostolique Gaudete et exsultate : sur l’appel à la sainteté. – Paris, Parole et Silence, 2018.

HUGUENIN, François.- Le pari chrétien : une autre vision du monde. – Paris, Taillandier, 2018. 562 pages.

JERÔME. – Préface aux livres de la Bible. – Paris, Le vcerf, 2017. 530 pages.

LECU, Anne. – Ceci est mon corps. – Paris, Le Cerf, 2018. 185 pages.

LE CHEVALIER, Valérie. – Ces fidèles qui ne pratiquent pas assez : quelle place dans l’Eglise ? – Namur (Belgique), Lessius, 2017. 104 pages.

MAC LEOD, Philippe. – L’Evangile de la Samaritaine. – Perpignan, Artège, 2018. 227 pager.

MARGUERAT, DANIEL. – L’historien de Dieu : Luc et les Actes des Apôtres. – Paris, Bayazrd, 2018. 443 pages.

MARTIN DE Vivies, Pierre de. – Les livres prophétiques. – Paris, Le Cerf, 2018. 159 pages.

PLUNKETT, Patrice de. – Cathos, ne devenons pas une secte. – Paris, Salvator, 2018. 159 pages.

SITTON, Elisabeth ; STERN, Fritz. – Des hommes peu ordinaires : Dietrich Bonhoeffer et Hans Dohnanyi, résistants dans l’Eglise et dans l’Etat. – Paris, Gallimard, 2014. 177 pages.

STEFFENS, Martin. – L’éternité reçue : pour ceux qui ont peur de la mort. – Paris, Desclée de Brouwer, 2017.

STANDAERT, Benoît. – Le désir désiré : commentaire sur le Cantique des cantiques. – Paris, Salvator, 2017.

WENIN, André. – Psaumes censurés : quand la prière a des accents violents. – Paris, Le Cerf, 2017.


Publication : Bibliothèque diocésaine d'Aix et Arles


mercredi 27 juin 2018

Les horaires d'été à la bibliothèque diocésaine


Horaires d’été de la Bibliothèque diocésaine

Il n’y aura pas de permanence à la bibliothèque diocésaine le samedi matin pendant les mois de juillet et août.

La bibliothèque sera ouverte aux heures habituelles pendant le mois de juillet.

Pendant le mois d’août la bibliothèque sera fermée du mercredi 1er août au mardi 31 août.

lundi 18 juin 2018

L'enseignement religieux à l'école

Dieu à l'école : plaidoyer pour un enseignement des religions
Xavier Dufour
Paris, Le Cerf, 2018. 165 pages.


Quand la menace du terrorisme retentit sur l'école française, chacun se demande comment celle-ci peut y répondre. Le principe même de laïcité résonne souvent dans le vide tant son idée reste confuse. Ne faut-il pas alors revenir à la vocation première de l'école en affrontant la question religieuse comme un objet de connaissance à part entière ? Ce livre défend un enseignement disciplinaire des religions dans tous les établissements, laïcs comme confessionnels. Il s'agit de présenter les traditions religieuses non dans une perspective catéchétique, mais selon une approche raisonnée, simultanément empathique et distanciée, sans esquiver l'interrogation sur le sens. Chaque enfant pourra ainsi accéder au patrimoine civilisationnel issu des religions et mieux comprendre sa propre tradition mais aussi celles de ses camarades. Cet ouvrage s'adresse à toutes les personnes intéressées par la question éducative et qui perçoivent que le mutisme en matière religieuse ne sert ni la cause de la raison, ni celle de l'école, ni celle du bien commun.


Biographie de l'auteur
Xavier Dufour est docteur en philosophie et agrégé de mathématiques. Il enseigne ces disciplines ainsi que la culture religieuse, pour laquelle il a coordonné une collection de manuels Les Chemins de la foi (éditions du Cerf, 6 vol.). Il intervient au Collège Supérieur de Lyon et assure une mission de sensibilisation des professeurs de l'enseignement catholique à la culture religieuse.

Publication : Bibliothèque diocésaine d'Aix et Arles

samedi 16 juin 2018

Réflexions sur le Mal




Philo Magazine
Hors-série n° 37
Le Mal


Du “serial killer” au tueur de masse, du violeur au criminel de bureau, le Mal hante nos imaginaires, et,parfois, il fait irruption dans nos vies. Qui est-il ? D’où vient-il ? Absolu ou relatif ? Et s’il était le propre de l’homme ? Et s’il était banal - extrême, intolérable, mais banal, comme le pensait Hannah Arendt après le procès Eichmann ? Une seule chose est sûre : il n’y a pas de mal à y réfléchir.


Le Mal
Qui oserait encore affirmer, avec Socrate, que « nul n’est méchant volontairement » ? Notre époque se reconnaîtra plus volontiers dans l’idée inverse, que l’homme est cet animal capable de faire le mal volontairement. « Le mal n’est pas en dehors de nous, comme un ange déchu et tentateur, mais en nous (…) dès que nous cessons de lui résister », comme l’écrit André Comte-Sponville.

Le Mal existe-t-il ? 
Sans doute – puisque nous avons besoin de lui pour qualifier les actes de barbarie sur un enfant, ou les tortures dans les prisons de Bachar el-Assad. Mais que savons-nous vraiment de lui ? Est-il relatif ou universel ? Dans notre nature intime ou dans la société ? Conscient ou inconscient ? Ces questions ont divisé les philosophes de saint Augustin à Kant, jusqu’à ce que Hannah Arendt renouvelle le débat – et la polémique – avec son concept de « banalité du mal ».

Peut-on comprendre le mal ?
Que peut-on répondre à la plainte de Job ? Les philosophes classiques ont tenté toutes sortes de constructions intellectuelles pour concilier l’existence du mal et celle de Dieu (lire à cet égard l’interview de Denis Moreau). On peut préférer l’approche de Dostoïevski ou encore l’expérience clinique du psychiatre et criminologue Daniel Zagury, selon lequel « fondamentalementles tueurs en série ne savent pas pourquoi ils agissent. On leur impute une intelligence qu’ils n’ont pas », retrouvant les conclusions de Hannah Arendt. Et vous, si on vous propose de travailler chez Monsanto, vous y allez ?

Peut-on aimer faire le mal ?
Si les sadiques et tortionnaires se repaissent de la douleur comme d’autres du plaisir, bien plus nombreux et dangereux sont les vertueux qui mettent à mort au nom d’un monde meilleur (entretien avec Françoise Sironi). Essentialiser l’autre pour mieux l’anéantir, c’est aussi la mécanique à l’œuvre aujourd’hui sur les réseaux sociaux où, selon Raphael Enthoven, « l’enjeu n’est pas de dire la vérité, mais d’écraser les arguments de l’autre sous l’identité qu’on lui assigne ».

Délivrez-nous du mal
« Une société totalement expurgée de la tentation du mal, c’est un fantasme qui n’est réalisable que par l’éradication de la liberté »,explique Michaël Fœssel. Mais comment vivre avec les conséquences du crime ? D’un côté, l’intransigeance prônée par Vladimir Jankélévitch, pour lequel le pardon est impossible. De l’autre, ces victimes qui intériorisent la culpabilité d’avoir pactisé avec l’« ennemi », et sur lesquelles s’est penché le philosophe Jean-Michel Chaumont  – qui propose, pour s’en sortir, des « protocoles sacrificiels ».



Publication : Bibliothèque diocésaine d'Aix et Arles

vendredi 15 juin 2018

Questions économiques et fincancières

Oeconomiciae et pecuniares quaestiones : Questions économiques et financières : considération pour un discernement éthique sur certains aspects du système actuel économique et financier actuel
Congrégation pour la doctrine de la foi. Dicastère pour le service du développement intégral
Paris, Salvator, 2018. 95 pages.


C’est un document fondateur, publié par la congrégation pour la Doctrine de la foi et le dicastère pour le Développement humain intégral. Disponible en plusieurs langues, le texte entend dessiner de nouvelles formes d’économie et de finance dans un paysage mondialisé et enclin à la disruption.

Le texte intitulé sobrement «Questions économiques et financières» -Oeconomicae et pecuniariae quaestiones- ambitionne de fournir des «repères éthiques concrets» aux sommités économiques, mais aussi aux chefs d’États, décisionnaires en matière de régulation de marché.
Faire cesser le règne du «profit pur»
Élaboré par des experts économiques et financiers externes au Vatican, le texte appelle à placer l’homme et le bien commun, et non «le profit pur», au centre des échanges économiques et financiers mondiaux.
L’influence croissante des marchés sur le bien-être matériel d’une bonne partie de l’humanité y est particulièrement décriée, partant d’un constat simple: au cours de la seconde moitié du XXème siècle, le bien-être économique s’est considérablement accru, hélas, de pair avec les inégalités. 

Un constat sévère de la mondialisation   
Le Saint-Siège n’épargne donc aucunement l’actuel système économique dominant, qui fait prévaloir «un égoïsme aveugle». «L'opportunité d'apprendre de la récente crise financière a été gaspillée et l'exploitation et la spéculation au détriment des plus faibles sont toujours une réalité aujourd'hui», énonce-t-il, critiquant tout autant le blanchiment d’argent, la non-transparence, la corruption, ou encore les placements offshore.
Également dans le viseur, «le tout-quantitatif» et l’absence de prise en compte de la «qualité de vie».   

Une alliance entre savoir technique et sagesse humaine
Première solution stipulée: réguler les marchés. Afin de protéger le bien commun et d'impliquer tous les membres de la société dans la richesse et le développement, l'alliance entre acteurs économiques et politiques doit être renouvelée. Une alliance renouvelée qui permette un meilleur contrôle des affaires économiques, «sous peine de voir tout agir humain se pervertir».
Deuxième solution: établir une orientation éthique dans tous les domaines, qu’ils soient économiques, bancaires ou monétaires. Le but ultime doit être de réduire les inégalités et la pauvreté dans le monde. «L'argent doit servir et non gouverner!» s’exclamait le Pape François dans son exhortation apostolique Evangelii gaudium. Le Vatican insiste ici sur le bien-être de l'humanité, à la racine de la solidarité, de la justice et du «capital humain», beaucoup plus important qu’un simple Produit Intérieur Brut. «Les systèmes ne sont en effet pas constitués de dynamiques anonymes, mais de relations humaines; les humains ne sont pas seulement des consommateurs et des entrepreneurs».

La nécessité d’une autocritique entrepreneuriale
Des cours dans les écoles de commerce sur «l’économie et la finance à la lumière de l’homme» sont ainsi recommandés. Du texte surgit aussi un appel à «l’autocritique» des entrepreneurs. Ils doivent initier un retour vers une culture entrepreneuriale et financière, qui mette l’accent sur le bien commun et la responsabilité sociale. Les banques doivent améliorer la transparence de leurs affaires monétaires; les prêts bancaires et l'épargne doivent être plus clairement définis, surtout en matière d’investissements. Les clients devraient être en mesure de voir si leur propre capital a été utilisé à des fins spéculatives ou non. Les comités d'éthique devraient être mis en place dans les conseils d'administration, de sorte qu'un autre appel à des cours d'éthique dans les écoles de commerce soit une partie intégrante.  




Publication : Bibliothèque diocésaine d'Aix et Arles

mardi 5 juin 2018

Le Livre des Proverbes


Le livre des Proverbes
David-Marc d’Hamonville
Paris, Le Cerf, 2018. 160 pages.

La collection « Mon ABC de la Bible », ouvrage après ouvrage nous fait découvrir un livre de la Bible. Ici nous allons découvrir en quelques pages le livre des Proverbes,, même si ce n’est pas le livre de l’Ancien Testament le plus lu ou le plus connu.

«  Identification de l'auteur ou des auteurs, contexte scripturaire, historique, culturel et rédactionnel, analyse littéraire, structure et résumé, examen détaillé des grands thèmes, étude de la réception, de l'influence et de l'actualité, lexiques des lieux et des personnes, bibliographie : les plus grands spécialistes de l'Ecriture se font votre tuteur. "Mon ABC de la Bible" ou la boîte à outils d'une lecture informée et vivante du Livre des Livres.


Biographie de l'auteur
C'est le frère David-Marc d'Hamonville, traducteur du livre des Proverbes dans La Bible d'Alexandrie, père abbé de l'abbaye d'En-Calcat, qui se fait ici votre guide pour goûter aux trésors de la sagesse biblique.

Bibliothèque diocésaine d'Aix et Arles

vendredi 1 juin 2018

Nouveautés du mois de mai 2018


LIVRES NOUVEAUTES MAI 2018



COULANGES, Pierre (éd.) ; LEFEVRE, Jean-François (éd.) ; LINNING, Waltraud (éd.). – La loi naturelle : lieu de rencontre ou pierre d’achoppement ?– Paris, Parole et Silence, 2017. 216 pages.

DUFOUR, Xavier. – Dieu à l’école : plaidoyer pour un enseignement des religions. – Paris, Le cerf, 2018. 165 pages.

FOLSCHEID, Dominique ; LECU, Anne ; MALHERBE, Brice de. – Le transhumanisme c’est quoi ? – Paris, Le Cerf, 2018. 136

DESOUCHE, Marie-Thérèse (éd.) ; MOLAC, Philippe (éd.). – Le courage de l’espérance. – Paris, Parole et Silence, 2017. 299 pages.
.HARMONVILLE, David-Marc d’.Le livre’ des Proverbes. – Paris, Le Cerf, 2018. 159 pages.

LECU, Anne. – Ceci est mon corps. – Paris, Le Cerf, 2018. 155 pages.

MAC LEOD, Philippe. – L’Evangile de la rencontre : Jésus et la Samaritaine. – Perpigan, Artège, 2018. 227 pages.

MARGUERAT, Daniel. – L’historien de Dieu : Luc et les Actes des Apôtres. – Paris, Bayard, 2018. 443 pages.

PELLETIER, Anne-Marie. – Débats éthiques, sagesse biblique.  Paris, Salvator, 2018. 156 pages.

RASSAM, Joseph. – Le silence comme introduction à la métaphysique. – Perpagnan, Artège, 2017. 277 pages.

RATZINGER, Joseph. – Peuple et Maison de Dieu dans l’ecclésiologie de saint Augustin. – Perpignan, Artège, 2017. 452 pages.

TENACE, Michelina. – On ne naît pas chrétien, on le devient : dogme et vie durant les trois premiers conciles. – Paris, Editions jésuites, 2017. 189 pages.

VOGELS, Walter. – Le petit reste dans la Bible. – Paris, Le Cerf, 2018. 156 pages.


Bibliothèque diocésaine d'Aix et Arles