lundi 27 janvier 2020

Absence et reprise à la bibliothèque diocésaine d'Aix et Arles

 Il y aura encore une semaine où la bibliothèque sera fermée : du lundi 27  janvier 2020 au 02 février 2020.

Rerpise des heures d'ouvertures à partir du 03 février 2020.

Merci pour votre compréhension.

Publication : Claude Tricoire - Bibliothèque diocésaine d'Aix et Arles

jeudi 16 janvier 2020

Absence à la bibliothèque diocésaine


Pour les lecteurs

La bibliothèque diocésaine, suite à un arrêt de maladie,  sera fermée du vendredi 17 janvier inclus au 26 janvier 2020.

Merci de votre compréhension


Publication :Claude Tricoire - bibliothèque d'Aix et Arles

mercredi 15 janvier 2020

Jean Delumeau, historien du christianisme


Jean Delumeau, historien français



Jean Delumeau, né le 18 juin 1923 à Nantes et mort le 13 janvier 2020, , est un historien français.
Universitaire, il est spécialiste des mentalités religieuses en Occident et, plus particulièrement du christianisme de la Renaissance et de l'Époque moderne.

Biographie

Carrière universitaire
Élève au lycée Masséna de Nice, puis au lycée Thiers de Marseille, il prépare le concours d'entrée de l'École normale supérieure, où il a comme professeur Roger Mehl (philosophie). Il est admis à l'ENS (promotion 1943), agrégé d'histoire, membre de l'École française de Rome et docteur ès lettres, il a enseigné l'histoire à l'École polytechnique, à l'université de Rennes II et à l'université de Paris I.
Détaché au Centre national de la recherche scientifique de 1954 à 1955, directeur du Centre armoricain de recherches historiques de 1964 à 1970 et directeur d'études à à l'École pratique des hautes études de 1963 à 1975 puis à l’École des hautes études en sciences sociales de 1975 à 1978, il est professeur puis professeur honoraire au Collège de France, où il occupa de 1975 à 1994 la chaire d'« Histoire des mentalités religieuses dans l’Occident moderne ».
Membre du comité éditorial de plusieurs revues académiques et professeur invité dans plusieurs universités d'Amérique du Nord, d'Europe et d'Asie, il est également membre honoraire de l'Institut universitaire de France et de l'Academia Europaea.
« De la peur, liée au pêché, vous avez trouvé et, avec les générations antérieures, éprouvé comme nous tous la prégnance, entretenue par une éducation incitant au scrupule. Vous y voyez, non sans raison, une des racines de la déchristianisation contemporaine. Cependant, votre propre anxiété désamorçait déjà le découragement. Alors, répondant à une attente, l’un de vos derniers livres, Rassurer et protéger, présente tout grand l’abri tutélaire du manteau de la Vierge intercédante. »
— Mollat du Jourdin
« Je suis fier et heureux, cher Philippe Wolff, de recevoir de vos mains cette épée que mes enfants ont choisie du début du xixe siècle afin de l'accorder au costume dessiné par David. Dans la ligne de ce qui vient d'être dit, je veux délibérément placer mon intervention et mes remerciements sous le signe de l'amitié. (…). L'épée fine, élégante et chronologiquement bien datée que je porterai désormais grâce à vous sous la coupole additionne à mes yeux trois significations. D'abord, elle me rappellera jusqu'en bout de carrière la chaleureuse sympathie dont vous m'avez entouré ce soir ; elle symbolise ensuite un attachement à l'histoire que j'ai manifesté dès l'enfance ; elle exprime enfin une sobriété de style dont j'aimerais faire passer quelque chose dans mon écriture »
En 2002, il est en vain candidat à l'Académie française.

Fonctions honorifiques et engagement
Il est membre d'honneur de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR), une association multiconfessionnelle qui œuvre à la préservation et au rayonnement du patrimoine culturel français. Il est également membre du comité de parrainage de la Coordination pour l'éducation à la non-violence et à la paix
Le 25 avril 2017, il fait partie des signataires d'une tribune de chercheurs et d'universitaires annonçant avoir voté Emmanuel Macron au premier tour de l'élection présidentielle française de 2017 et appelant à voter pour lui au second, en raison notamment de son projet pour l'enseignement supérieur et la recherche.
Vie privée
Il est le père de l'historien Jean-Pierre Delumeau.

Le spécialiste de l'évolution de la conscience religieuse
Les ouvrages majeurs sur les thèmes qu'il travaille particulièrement concernent :
les pulsions avec en 1978 : La Peur en Occident, XIVe-XVIIIes et en 1983 : Le Péché, la Peur, la culpabilisation en Occident ;
les institutions avec en 1990 : L'Aveu et le Pardon, XIIIe-XVIIIes ;
les représentations avec en 1992 : Le Jardin des Délices.

Œuvres
Les ouvrages de Jean Delumeau ont été traduits dans de nombreuses langues dont le japonais, le portugais, le tchèque, le roumain, l'hongrois et l'italien.
Vie économique et sociale de Rome dans la seconde moitié du xvie siècle, Paris, De Boccard, 1957.
L’Alun de Rome, xve-xviiie siècles, Paris, École Pratique des Hautes Études, 1962.
Naissance et affirmation de la Réforme, Paris, PUF. Coll. « Nouvelle Clio », 1965.
Le Mouvement du port de Saint-Malo, 1681-1720 [sous la dir. de], Paris, Klincksieck, 1966.
La Civilisation de la Renaissance, Paris, Arthur. Coll. « Les grandes civilisations », 1967.
Histoire de la Bretagne [sous la dir. de], Toulouse, Privat, 1969.
Le Catholicisme de Luther à Voltaire, PUF. Coll. « Nouvelle Clio », 1971.
L’Italie de Botticelli à Bonaparte, Paris, Armand Colin, 1974, (réédité en 1991 chez Armand Colin sous le titre L'Italie de la Renaissance à la fin du XVIIIe siècle).
Rome au xvie siècle, Paris, Hachette, 1975.
La Mort des pays de Cocagne. Comportements collectifs de la Renaissance à l’âge classique, Paris, Publications de la Sorbonne, 1976
Le Christianisme va-t-il mourir ?, Paris, Hachette, 1977.
La Peur en Occident (xive-xviiie siècles). Une cité assiégée, Paris, Fayard, 1978.
Histoire vécue du peuple chrétien, 2 vols [sous la dir. de], Toulouse, Privat, 1979.
Le Péché et la peur : La culpabilisation en Occident (xiiie-xviiie siècles), Paris, Fayard, 1983.
Ce que je crois, Paris, Grasset, 1985.
Le cas Luther, Paris, Éditions Desclée de Brouwer, 1986.
Les Malheurs des temps. Histoire des fléaux et des calamités en France [sous la dir. de], Paris, Larousse, 1987.
La Première communion : quatre siècles d'histoire [sous la dir. de], Paris, Éditions Desclée de Brouwer, 1987.
Rassurer et protéger. Le sentiment de sécurité dans l’Occident d’autrefois, Paris, Fayard, 1989.
Injures et blasphèmes [sous la dir. de], Paris, Imago, 1989.
L'aveu et le pardon. Les difficultés de la confession. XIIIe-XVIIIe siècle, Paris, Fayard, 1990.
Histoire des pères et de la paternité [sous la dir. de], Paris, Larousse, 1990.
Une histoire du Paradis. I : Le Jardin des délices, Paris, Fayard, 1992.
Le Fait religieux [sous la dir. de], Paris, Fayard, 1992.
La Religion de ma mère : Le Rôle des femmes dans la transmission de la foi [sous la dir. de], Paris, Éditions du Cerf, 1992.
Le Savant et la foi : des scientifiques s'expriment [sous la dir. de], Paris, Flammarion, 1993.
Une histoire du Paradis. II : Mille ans de bonheur, Paris, Fayard, 1995
Histoire artistique de l'Europe : La Renaissance (avec Ronald Lightbown), Paris, Le Seuil, 1996.
L'Historien et la foi [sous la dir. de], Paris, Fayard, 1996.
Des Religions et des Hommes (avec Sabine Melchior-Bonnet), Paris, Éditions Desclée de Brouwer, 1997.
Entretiens sur la fin des temps (avec Umberto Eco, Stephen Jay Gould, Jean-Claude Carrière), Paris, Fayard, 1998.
Une histoire de la Renaissance, Paris, Perrin, 1999.
Une histoire du Paradis. III : Que reste-t-il du Paradis ?, Paris, Fayard, 2000.
Chrétiens, tournez la page (avec Yves de Gentil-Baichis, René Rémond, Marcel Gauchet, Danièle Hervieu-Léger, Paul Valadier), Paris, Bayard, 2002.
Guetter l'aurore. Un christianisme pour demain, Paris, Grasset, 2003
Jésus et sa passion (avec Gérard Billon), Paris, Éditions Desclée de Brouwer, 2004.
La plus belle histoire du bonheur (avec André Comte-Sponville et Arlette Farge), Paris, Le Seuil, 2004.
Le Fait religieux, tome 1: Le Christianisme [sous la dir. de], Paris, Fayard, 2004.
Histoire des mentalités religieuses dans l'occident moderne, Paris, Collège de France / Le Livre Qui Parle, 2005.
Le Mystère Campanella, Paris, Fayard, 2008.
À la recherche du paradis, Paris, Fayard, 2010
La seconde gloire de Rome. xve-xviie siècle, Paris, Perrin, 2013.
De la peur à l'espérance, Paris, Robert Laffont. Collection « Bouquins », 2013.
L'avenir de Dieu, Paris, Éditions du CNRS, 2015.


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Jean Delumeau, historien de l’enfer et du paradis, est mort

Titulaire de la chaire d’histoire des mentalités religieuses de l’Occident moderne au Collège de France, ce penseur éclairé et intègre a mis au jour les mécanismes de la « pastorale de la peur » qui imprégna longtemps le christianisme. Sa famille a fait part à « La Croix » de son décès, ce lundi 13 janvier matin, à 96 ans.
Ceux qui ont eu la chance de suivre, fidèlement ou plus épisodiquement, les cours de Jean Delumeau au Collège de France se souviennent d’un orateur passionnant, d’une clarté cristalline, affable, précise. Et s’émerveillent encore de la manière dont il savait mettre le point final à sa leçon du jour, une seconde avant que l’horloge n’en indique le terme. Tant d’aisance et d’organisation intellectuelles charmaient et impressionnaient tout à la fois.
Né le 18 juin 1923 à Nantes au sein d’une famille croyante, Jean Delumeau avait reçu « la foi en héritage » selon ses termes mais porta vite « un regard critique sur la religion », suivi par « le doute comme (mon) ombre ». Agrégé d’histoire, professeur au lycée de Rennes puis, à partir de 1957, à la faculté des lettres, il franchit tous les échelons universitaires avec, en 1975, une nomination au Collège de France.
Marié en 1947, il aura trois enfants dont l’historien Jean-Pierre Delumeau. Si ses premières publications érudites portent sur l’histoire de Rome (il fut membre de l’École française de Rome), un public élargi le découvre en 1977 quand paraît Le Christianisme doit-il mourir ?, couronné du Grand prix catholique de littérature.
Une plongée dans la peur
Des travaux de cet éminent et lumineux historien des religions, on retient avant tout la notion de « pastorale de la peur », dont il a étudié la domination au sein de l’Église catholique depuis le Moyen Âge jusqu’aux Lumières. Ou la traque quasi-permanente du péché, assortie de la menace de l’enfer, dans le but, explicite ou non, de tenir les esprits à distance de toute tentative d’émancipation. La Peur en Occident publié en 1978 et, plus encore, Le Péché et la peur (1983) – véritable somme traduite en anglais mais aussi en brésilien ou en japonais –, assirent la notoriété de Jean Delumeau, au-delà du cercle des spécialistes et des étudiants en histoire religieuse.
D’autant que leur auteur, loin de tout manichéisme, sut traduire auprès des lecteurs contemporains les subtilités de cette rigidité ecclésiale en la replaçant - donc la nuançant - dans le contexte médiéval et renaissant. Les épidémies ravageuses, les famines, les conflits politiques et les guerres religieuses, plongeaient les populations dans une « angoisse ordinaire » diffuse et mortifère. En instaurant une pastorale de la peur, en lui donnant des contours théologiques bien définis, l’Église montrait qu’il était tout de même possible d’agir contre le fléau du mal. À l’inverse des calamités naturelles qui s’abattent sur l’homme impuissant, le péché et le démon pouvaient être combattus, voire vaincus.
Un voyage au Paradis
Jean Delumeau, d’ailleurs, n’aura jamais considéré la terreur répandue par l’institution religieuse sous l’Ancien-Régime comme un sujet isolé. Ses travaux l’ont aussi conduit sur les chemins de l’espérance, et même jusqu’au paradis, auquel il a consacré tant d’années de sa vie, publiant une magnifique Histoire du Paradis, en trois tomes (1992, 1995 et 2000). Il y confrontait la vision théologique et les découvertes scientifiques, artistiques et humanistes à l’œuvre, dans un réseau d’interactions fécondes ou antagonistes mais toujours stimulantes.
Imprégné des réflexions et évolutions du concile Vatican II dans un Occident soumis à une forte déchristianisation, l’historien et homme de foi observait d’un commun mouvement de sa pensée et de son érudition, la face sombre et la face lumineuse de la religion de son enfance. Il s’en expliquait régulièrement, évoquant avec une tendre clairvoyance La Religion de (ma) mère, sous-titré Le Rôle des femmes dans la transmission de la foi (1992), ou invitant chacun de nous à Guetter l’aurore – Un christianisme pour demain, édité en 2003.
Ou, mieux encore, publiant en 2015 un Avenir de Dieu… « Le paradis ce seront les autres, écrivait-il alors, dans la lumière et la proximité de Dieu, dans une affection réciproque qui aura effacé toutes les incompréhensions et hostilités d’ici-bas ».

« Le message évangélique est intact »
Dans ses livres savants comme dans ses textes plus intimes, Jean Delumeau séduisait par l’élégance très classique de son style, la sympathie souriante qu’il portait aux figures du passé rencontrées au fil de ses écrits. Il avait cette plume qui parvient à faire comprendre et goûter des sujets complexes, à faire voyager dans l’histoire des idées et des hommes.


mardi 7 janvier 2020

Mère Genevieve Gallois : un documentaire à la Maison Saint-François à Martigues



 LE GÉNIE ET LE VOILE : UN DOCUMENTAIRE 
À VOIR À LA MAISON SAINT FRANCOIS


Mercredi 15 janvier, 18h, Maison Saint François,
Projection du documentaire « Le génie et le Voile »
par l’association Regard sur la peinture.

L'œuvre à la fois réaliste et surnaturelle de cette "moniale inspirée" est sans doute une des aventures mystiques les plus passionnantes du XXe siècle.

Artiste aux multiples facettes, extraordinairement douée, Geneviève Gallois quitte son registre satirique lorsque, convertie, elle entre chez les bénédictines en 1917.

Tout est fort en elle, sa foi, son trait, son langage, son art.

Geneviève Gallois, connue comme Mère Geneviève Gallois, née à Montbéliard le  et morte à Paris le , est une moniale, artiste peintre, graveur et peintre de vitrail.









MERE GENEVIEVE GALLOIS, MONIALE ET ARTISTE




Notre famille monastique est marquée par le souvenir, l’œuvre et la spiritualité de Mère Geneviève Gallois (1888-1962), moniale et artiste de génie.
Lorsqu’elle entre au monastère de la Rue Monsieur en 1917, alors qu’une carrière artistique brillante s’ouvre à elle, sœur Geneviève fait, avec le don d’elle-même, le sacrifice de son art. Son caractère intransigeant et son sens aigu de l’absolu de Dieu ne la portent pas aux demi-mesures !
Vingt ans plus tard, elle est remarquée par un amateur d’art, le docteur Paul Alexandre. Elle donne alors une inimitable série de dessins sur la vie monastique, ainsi que des eaux fortes et des vitraux.
Elle écrit beaucoup, et note ici ou là ses réflexions sur la vie monastique, dans un style aussi vigoureux que celui de ses dessins.
A Jouques, comme à Limon, une exposition permanente offre aux visiteurs la possibilité de parcourir l’itinéraire artistique de Mère Geneviève, depuis ses huiles de jeunesse jusqu’aux maquettes des vitraux.
Pour moi, l’Art se fond de plus en plus avec la vie, et la vie se fond de plus en plus avec Dieu ; elle descend toujours plus profond, au fond de moi-même, dans un trou qui n’a pas de fond ; et tout ce que j’ai à exprimer, en Art, est ce corps à corps avec Dieu, cette lutte pour éliminer tout ce qui sépare du cœur à cœur avec Lui. Le vitrail que je fais maintenant porte cette inscription : « Aperi mihi, soror mea… Ouvre-moi, ma sœur, mon amie ». C’est le résumé de la vie chrétienne : Dieu qui veut entrer, et l’âme qui Lui ouvre.
Mère Geneviève, octobre 1952


Source  de l'article  : Site de la Paroisse de Martigues


GENEVIEVE GALLOIS

Geneviève Gallois, connue comme Mère Geneviève Gallois, née à Montbéliard le  septembre 1888 et morte à Paris le 19 octobre 1962, est une moniale, artiste peintre, graveur et peintre de vitrail. En religion elle était Mère Geneviève.

Biographie
Fille d'un sous-préfet anticlérical, Marcelle Gallois est éduquée dans une famille bourgeoise. Elle entre à l'École des beaux-arts de Montpellier, puis à l'École des beaux-arts de Paris et expose en Suisse, en Belgique et, à Paris, au Salon des dessinateurs humoristes car elle est alors d'abord une caricaturiste.
En 1917, après une crise spirituelle, elle entre chez les Bénédictines de la rue Monsieur à Paris

L'artiste
Au début de sa vie monastique, Geneviève Gallois rejoint l'atelier d'ornements liturgiques. Progressivement elle est autorisée à peindre des gouaches illustrant son quotidien conventuel. Elle est découverte par des patrons de broderies pour une Vie de Jeanne d'Arc. Ce n'est qu'en 1939 qu'elle est admise à prononcer ses vœux définitifs car une partie de la communauté était réticente face à celle qui conserve une forte personnalité et ne répugne pas à peindre des tâches banales comme l'épluchage des légumes ou la vaisselle. En 1942 elle est déchargée de beaucoup de tâches quotidiennes pour se consacrer à l'art alors que la règle bénédictine prône les travaux manuels.
Progressivement sa réputation s'étend et elle est visitée par des artistes comme Marie Laurencin à la suite de sa série Via Crucis qui comprend 18 eaux-fortes sur les dernières heures du Christ. Ensuite elle se consacre au vitrail, dont des modèles sont conservés à l'église du Petit Appeville près de Dieppe, ou à l'église abbatiale de Vauhallan.
Son livre illustré Vie du Petit Saint Placide a été comparé à une bande dessinée théologique .

Bibliographie
Alexandre Noël, Mère Geneviève Gallois, bénédictine, peintre, graveur verrier, Bruxelles 1999.
Aubin Hellot et Lizette Lemoine Le Génie et le Voile , film documentaire de 54 min , Les Films Du Large / La Huit Production 2012 http://www.lahuit.com/fr/content/le-genie-le-voile [archive]
Yves Frémion, « Ma très chère Mère est une pionnière », Les Cahiers de la bande dessinéeno 7, p. 10


Publication : Bibliothèque diocésaine d'Aix et Arles