Blog des bibliothèques et archives diocésaines d'Aix-en-Provence et Arles, de Marseille, et de Gap et Embrun, de Toulon
mercredi 23 décembre 2015
dimanche 20 décembre 2015
Dédicace du livre Le diocèse de Gap et d'Embrun hier et aujourd'hui
Le père Pierre Fournier, responsable de la Formation permanente du diocèse de Gap et d'Embrun, dédicacera le livre Le diocèse de Gap et d'Embrun hier et aujourd'hui à l'Office du Tourisme de Veynes le mardi 22 décembre de 14h à 17h30.
samedi 19 décembre 2015
Fermeture de la médiathèque diocésaine
La médiathèque diocésaine sera fermée du 19 décembre au 4 janvier. Nous vous souhaitons de bonnes fêtes de Noël.
Chemins vers le silence intérieur
Mgr Jean-Michel di Falco Léandri, Chemins vers le silence intérieur avec Benoîte Rencurel : guérir les cœurs blessés, Paris : Parole et Silence, Ed. du Laus, 2015, 178 p.
A l'occasion de l'Année sainte proclamée par le pape François, Mgr Jean-Michel di Falco Léandri, évêque de Gap et d'Embrun, relit dans cet ouvrage les Manuscrits qui relatent les événements de Notre-Dame du Laus à l'aune de la Miséricorde.
Benoîte Rencurel, favorisée d'apparitions pendant cinquante-quatre ans et qui reçut les enseignements de la Vierge, a tenté de guérir les personnes blessées, de les amener à la réconciliation avec eux-mêmes, avec leurs proches et avec Dieu.
En prenant une à une les œuvres de la Miséricorde telles qu'elles sont définies par l'Eglise catholique, Mgr Jean-Michel di Falco les illustre par les actes de Benoîte, permettant ainsi de comprendre de manière pratique des notions parfois très difficiles à appliquer.
Pour en savoir plus, le site du diocèse de Gap et d'Embrun et le numéro de décembre de Eglise dans les Hautes-Alpes.
jeudi 17 décembre 2015
mercredi 16 décembre 2015
Comment Rembrand nous permet de découvrir l’histoire des Hautes-Alpes
Arlette Playoust, Une gravure de Rembrandt dans les Hautes-Alpes : recherches et conclusions, Association départementale de sauvegarde du patrimoine du Pays du Buëch et des Baronnies, 2015, 138 p.
Arlette Playoust, dans cet ouvrage, nous donne une magistrale leçon de méthodologie en histoire. La couverture du livre porte en sous-titre : « les méandres de la recherche ». Entre le don de la gravure par un particulier (1995) et la publication de ce livre par le donataire, se passe vingt ans consacrés à l’étude de cet exemplaire d’une œuvre de Rembrandt. L’auteur, aujourd’hui, dresse un état de ce qu’elle sait et de ce qu’elle ignore et, également, ce qui reste à l’état d’hypothèses. Au-delà de ces dernières et des conclusions, Arlette Playoust dit quand elle cesse de suivre une voie. C’est le cas, page 21 par exemple : « cette piste est donc abandonnée, et il faut en suivre une autre ».
Ce livre est, par conséquent, un hommage à la recherche, patiente et longue, et à ce qu’elle nous apprend sur les personnes et les lieux. Nous retrouvons ici un peu de l’esprit du livre d’Alain Corbin, Le monde retrouvé de Louis-François Pinagot, sur les traces d’un inconnu (1798-1876), Paris, Flammarion, 1998, 336 p. Soulignons évidemment qu’Arlette Playoust a, dans cette période de vingt ans, publié d’autres ouvrages, seule ou non : Mémoires d’un Champsaurin, Ambroise Faure (1795-1871) en 2007, Maisons monastiques médiévales en Provence et Dauphiné (2010), Les Prieurés de Cluny de l’ancien diocèse de Gap (2010).
Le point de départ est donc la remise en septembre 1995 d’une gravure de l’artiste hollandais Rembrandt (1606-1669), la Grande descente de croix (1633) à l’association éditrice. Arlette Playoust analyse la gravure et le contexte où elle a été produite, elle s’intéresse au graveur et au papier sur lequel il a travaillé. Elle interroge la généalogie des propriétaires et les situe dans leurs milieux sociaux et religieux, certains étant protestants. De surcroît, elle passe au crible les maisons où la gravure a pu être conservée (propriétaires successifs, périodes d’occupation ou non des lieux, disposition des pièces) : la maison Tardieu à Serres, les maisons Mourès à Barcillonnette et à Serres. Les plans des immeubles et ceux du cadastre sont publiés.
Les annexes (pages 75-133) contiennent les actes de vente des maisons, les testaments, des notices biographiques et un inventaire de maison, y compris sa bibliothèque.
Luc-André Biarnais
Archiviste du diocèse de Gap et d’Embrun
samedi 12 décembre 2015
La tendresse de Dieu
Père Ludovic Frère, La tendresse de Dieu, Paris : Artège, 2015, 244 p.
Le Père Ludovic Frère est le recteur de Notre-Dame du Laus, le sanctuaire marial des Hautes-Alpes, depuis septembre 2010. Il est l'auteur de Laissez-vous réconcilier ! Notre-Dame du Laus : refuge de réconciliation, qui présente le message laissé par la Vierge Marie à Benoîte Rencurel, paru en 2012 aux Editions du Laus et de nouveau en 2014 avec les Editions de l'Emmanuel.
En 2013, avec Je n'ai pas le temps, Notre-Dame du Laus : le temps réconcilié, il propose une réflexion sur notre gestion du temps, véritable voie pour nous réconcilier avec nous-même.
La tendresse de Dieu est la mise en forme d'enseignements donnés lors de sessions à Notre-Dame du Laus. Partant de la définition de tendresse, le père Ludovic Frère nous invite à la découvrir dans notre vie, dans notre relation à Dieu et en prenant le pape François comme modèle. Son importance dans chaque vocation est aussi étudiée : la tendresse a sa place dans le mariage comme dans la vie consacrée. Des situations plus difficiles sont aussi abordées : comment vivre la tendresse quand on est séparé ou divorcé, quand on est homosexuel, quand on est célibataire sans l'avoir choisi ?
Dans le dernier chapitre, différentes situations où la tendresse doit être mise en application sont présentées. Comment rester tendre et doux de coeur face aux personnes dans le besoin, âgées ou malade ? face parfois à ses propres enfants ? face à la Terre et à la création qui doit être préservée ? Comment rester simplement indulgent face à soi-même ?
Les conférences "Les accueillons-nous ? Les excluons-nous ?", dont la première aura lieu le 17 décembre à 21 h au Centre diocésain pape François de Gap, font écho à cet angle.
Les conférences "Les accueillons-nous ? Les excluons-nous ?", dont la première aura lieu le 17 décembre à 21 h au Centre diocésain pape François de Gap, font écho à cet angle.
jeudi 10 décembre 2015
QUAND LES BIBLIOTHEQUES D'ANTANT SAVAIENT Y FAIRE
Publication : Bibliothèque diocésaine d'Aix et Arles
MOURIR POUR DIEU : JUDAÏSME, CHRISTIANISME, ISLAM
Mourir pour Dieu dans le judaïsme, le christianisme, l’islam
Le Monde de la Bible n° 214, septembre-octobre-novembre 2015. 145 p
Entre les chrétiens d’Orient, « martyrisés » par des djihadistes à cause de leur foi, et ces mêmes djihadistes se
revendiquant « martyrs » au moment de mourir les armes à la main, « Le Monde de la
Bible » donne des clés pour
comprendre cette question du martyre à laquelle aucune tradition religieuse
n’échappe
Dans la Bible juiveL’actualité violente de ces dernières
années – mais surtout attentats du 13 novembre dernier à Paris souoigne
l’urgence qu’il y a à s’interroger sur la notion de martyre.
Selon Katell Berthelot (CNRS et
université d’Aix-Marseille), qui propose une typologie instructive- à propos de
la notion de « martyre dans les bibles hébraïques - il faut distinguer celui qui consent à la mort
imposée par un bourreau ; celui qui combat et se sacrifie pour Dieu et sauver
les autres ; celui qui se suicide pour échapper à la torture et
au renoncement de sa foi. Le premier se contentant de subir la violence, les
deux autres la choisissant.
Dans le christianisme : le témoignage des martyrsC’est le premier type de martyr que le
christianisme célèbre, depuis le IIe siècle, quand des témoins – « martus » en grec – étaient
persécutés par le pouvoir romain parce qu’ils refusaient de rendre un culte à l’empereur. « La
mort, explique l’exégète suisse Daniel
Marguerat, est la conséquence annoncée du témoignage. Toutefois, ce n’est
pas la mort qui est témoignage mais la parole confessante du témoin. » Dans l’islamIl est bon de s’attarder un peu plus
longuement sur ce que signifie le martyr dans le monde de l’islamLa notion de martyr que l’on trouve dans
la Bible a un sens éloigné de l’idéologie du martyre dans l’islam, ainsi que le
rappelle l’historienne arabisante Jacqueline Chabbi. Selon son interprétation, « la
rhétorique guerrière » et les
nombreuses incitations au combat que l’on trouve dans le Coran sont à
comprendre comme les appels vains de Mohammed à ses vieux compagnons pour les
pousser à s’engager, ceux-ci étant souvent peu enthousiastes à l’idée de
participer à des expéditions lointaines. « Si
les incitations sont nombreuses, c’est vraisemblablement que les volontaires ne
se bousculaient pas », estime
cette spécialiste du monde musulman médiéval.
Elle met en garde également contre une
interprétation superficielle qui associerait la notion de « qitâl » (combat) à celle
de « tuer ». Combattre
dans le Coran, selon Jacqueline Chabbi, n’a pas pour but de tuer, pour la bonne
raison que chaque tribu veut, au contraire, « avoir
le plus grand nombre de fils qui atteignent l’âge adulte, afin d’assurer l’avenir
et la défense du groupe ».
Ces versets coraniques qui associent le
combat et la mort viseraient donc surtout à mettre en garde contre le risque
d’être tué – donc de manquer aux siens – et de tuer autrui injustement – ce qui
déclencherait automatiquement la riposte du talion. « On
est donc aux antipodes des idéologies délirantes des mouvements dijhadistes actuels".
Publication : Claude TRICOIRE - Bibliothèque diocésaine d'Aix et Arles
délirantes des mouvements djihadistes actuels. »
mercredi 9 décembre 2015
Les Hautes-Alpes… dans les pas des rois mages : une série de conférences au Musée de Gap
Le 5 décembre 2015, Catherine Briotet, Conservatrice des antiquités et objets d’art du département, a donné une conférence intitulée « La nativité et l’adoration des Rois Mages dans les œuvres d’art des Hautes-Alpes ». Elle a commencé par rappeler le statut légal des œuvres exposées et antérieures à la loi de 1905. Ces objets (tableaux, vases sacrés…) demeurent exclusivement affectés au culte et sont propriétés des communes (pour les églises) ou de l’État (pour la cathédrale de Gap). L’exposition sur les rois mages n’aurait pu avoir lieu sans l’autorisation des maires, des prêtres affectataires et, évidemment, de la conservation régionale des monuments historiques. Certaines des œuvres sont protégées au titre des monuments historiques. Dans les Hautes-Alpes, ce sont 2100 objets qui sont inscrits et 700 qui sont classés, pour l’essentiel des œuvres religieuses.
mardi 8 décembre 2015
Remettre l'homme au coeur de l'économie
Alain Delaunoy, Remettons l’homme au cœur de l’économie, Bayard, 2015, 53 p.
Alain Delaunoy est ancien chef d’entreprise et auteur d’ouvrages sur l’économie sociale. Il est donc parfaitement qualifié pour publier un livre s’inscrivant dans le mouvement de l’Eglise sur les réflexions économiques. Á travers sa doctrine sociale, les textes pontificaux, les travaux épiscopaux (tel les Documents épiscopat n° 11, juin 1990, cité p 52 par Alain Delaunoy), l’Eglise demande que l’homme soit placé au centre d’un système fait pour servir et non pour asservir.
Bibliographie sélective sur les questions économiques :
L’Argent doit servir et non pas gouverner ! : discours du pape François aux ambassadeurs, le 16 mai 2013 in Documentation catholique, Georges Sanerot, 49 p.
Entreprise, les fragiles équilibres du bien commun, Documents épiscopat, n° 12, 2012.
Laurent Seyer, L’Argent dans nos vies de chrétiens, Paris, Le Laurier, 2012, 63 p.
Jean-Yves Calvez, L’Eglise devant le libéralisme économique, Paris, Desclée de Brouwer, 1994, 94 p.
Alain Cotta, Le Capitalisme dans tous ses états, Paris, Fayard, 1991, 186 p.
Les Chrétiens et l’économie : colloque de l’Association française d’histoire religieuse contemporaine (30 septembre 1989), Paris, Le Centurion, 1991, 248 p.
Jean-Yves Calvez, L’Economie, l’homme, la société : l’enseignement social de l’Eglise, Paris, Desclée de Brouwer, 1989, 347 p.
Jean-Yves Naudet, L’Eglise et l’économie de marché face au collectivisme, Paris, Union nationale inter-universitaire, 1987, 196 p.
Emmanuel Hamel, L’Eglise et les réalités économiques, Paris, Entreprise moderne, 1983.
Luc-André Biarnais,
Archiviste du diocèse de Gap et d’Embrun
samedi 5 décembre 2015
Après « Le Royaume », les conférences de Saint-Arnoux vous proposent « Eduquer, transmettre » le 10 décembre à 20 h à Gap
L’Eglise est voulue par Dieu comme institution où les hommes vont pouvoir retrouver cette intimité avec leur Créateur. L’Eglise donne tout ce qui conduit au Royaume des Cieux. Au-delà de la dimension humaine de l’Eglise, le croyant doit la regarder avec des yeux de foi.
La prochaine conférence de Saint-Arnoux sera donnée le jeudi 10 décembre 2015 à Gap (20 h) par Michel Carletti. Celui-ci a été directeur diocésain de l’enseignement catholique de Nice jusqu’en 2012 et il accompagne le collège-lycée Saint-Joseph de Gap. Son intervention portera sur le thème « Eduquer, transmettre ».
Luc-André Biarnais
Archiviste diocésain de Gap
vendredi 4 décembre 2015
LE PATRIMOINE RELIGIEUX DU XIXè SIECLE
Plaidoyer pour les églises du XIXè siècle : les
clefs d’un immense patrimoine
Histoire du christianisme magazine, Hors-séri N° 9,
automne 2015
RESUME
Les arts religieux du XIXè siècle s’ils ont longtemps souffert d’une double
excommunication : d’abord à l’encontre de la religion, puis du fait qu’elles
soient de ce siècle. Pourtant ce nfut
une période riche en chefs d’œuvre religieux avec la contribution de peintre
comme Ingres, Delacroix ou Courbet.
Cette période longtemps méprisée qui
voit aujourd’hui son patrimoine trop souvent délaissé. En France, bon nombre
d’églises menacées de démolition datent du XIXe siècle. On prétend qu’elles
sont sans intérêt. Pourtant, ces édifices témoignent de l’extraordinaire effort
de reconstruction effectué par les catholiques au lendemain de la Révolution.
Ils racontent les missions paroissiales, les dévotions populaires ou bien
encore l’essor des pèlerinages en pleine ère du soupçon. Les artistes
revisitent volontiers les répertoires du passé, redécouvrant par exemple la
technique du vitrail. Ils savent aussi expérimenter des formes plastiques
originales ou bien des matériaux nouveaux issus de la modernité comme la fonte
de fer. Depuis quelques années, le monde de la recherche met en valeur cette
dynamique. Le grand public doit encore s’en emparer.
Voici un hors-série inédit qui rassemble les meilleurs spécialistes du
sujet.
-Que deviennent les églises des Mauges ? Entre
Loire et bocage, la route de la ferveur.
-Histoire : Après la Révolution, un catholicisme à
reconstruire. Par Gérard Cholvy.
-Une large palette pour la peinture religieuse. Par Isabelle Saint-Martin.
-Iconographie : Une piété plus douce et chaleureuse.
-La patrimonialisation du sanctuaire. Par Jean-Michel
Leniaud.
-Architecture : Le néogothique ou comment fabriquer des
églises en série. Par Philippe Dufieux.
-Décor : Le grand retour du vitrail. Par Laurence de
Finance.
-Entretien avec Didier Rykner : « Tout le
XIXe siècle est passionnant ! »
-La révolution liturgique romaine. Par Vincent Petit.
-Les centres de pèlerinage en plein essor. Par
Séverine Blenner-Michel.
-La fonte de fer, matériau de la modernité. Par Philippe
Dufieux.
-Le renouveau de l’art sacré en Angleterre. Par
Gabrielle de Lassus Saint-Geniès.
-Musique : Gounod, les opéras d’un catholique. Par
Yves Bruley.
Publication : Claude Tricoire - Bibliothèque diocésaine d'Aix et Arles
mardi 1 décembre 2015
PAUL VI (1897-1978) : UNE BIOGRAPHIE
Paul VI : la
biographie
Xenio Toscani (dir.)
Paris, Salvator,
2015.696 pages
L’ouvrage
Qui était Paul VI (1897-1978)
à qui le pape François fait abondamment référence et qu’il a béatifié le 19
octobre 2014 ?
« Aucun des papes que nous avons vus à l'oeuvre depuis un demi-siècle
n'aura été plus injustement malmené et méconnu », disait déjà de lui André
Frossard.
Alors que 2015 est
marqué par le double 50ème anniversaire de la clôture du Concile et de la
publication d’Evangélii Nuntiandi - texte fondateur de la nouvelle
évangélisation - paraît cette biographie complète et magistrale de Paul VI. Ce
pape eut la lourde tâche de parachever le Concile Vatican II et qui fut
incompris lors de la publication de l’Encyclique Humanae Vitae. S’appuyant sur des documents inédits évoquant la vie
familiale et publique de Jean-Baptiste Montini, ce livre révèle la vraie
personnalité d’un pape qui fut moins indécis et moins tourmenté qu’on ne le
dit, mais plutôt habité par la passion de faire converser l’Église avec le
monde tel qu’il est, avec les incroyants, les artistes, etc.
Cette biographie est
donc tout autant un événement éditorial que spirituel car Paul VI s’avère être
un grand maître spirituel pour aujourd’hui.
Les auteurs
Les auteurs
Cette biographie est le résultat du travail de l'Institut
Paul VI de Brescia, chargé de recueillir les archives et d'éditer les documents sur
Jean-Baptiste Montini afin de « garder vivante la mémoire du pape brescian ».
C’est donc une oeuvre collective placée sous la direction de Xenio Toscani. Cet
épais travail, qui fait une large place aux citations, n'est pas seulement un
livre d'histoire, c'est aussi une ouverture à la spiritualité montinienne, et
qui a parfois des accents parfois hagiographiques. Cependant fera date pour
ceux qui souhaitent aborder la vie de ce pape qui, au crépuscule de son
existence, répétait le mot de Bernanos : « Tout est grâce. »
Le maître d’œuvre, Xenio
Toscani, né en 1931, est professeur émérite de l’Université Catholique du
Sacré-Cœur à Pavie. Il est membre du conseil scientifique de l’Institut Paul VI
à Brescia. Il a dirigé la réalisation de cette biographie à laquelle ont
contribué quatre autres auteurs parmi les meilleurs spécialistes de l’histoire
de l’Église catholique contemporaine.
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