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Jean d’Ormesson
(1925-2017)
Né d'un père ambassadeur du Front populaire et ami de
Léon Blum, Jean d'Ormesson se voit dispenser une éducation privilégiée, dans le
respect des valeurs traditionnelles.
Évoluant dans un cadre libéral, il entame un parcours sans entrave. Élevé brillant, il accumule très vite les diplômes : agrégé et diplômé d'études supérieures de philosophie, normalien... Cet érudit ne s'arrêtera pas là. Jean Lefèvre, comte d'Ormesson, embrasse une carrière de haut fonctionnaire devenant président du Conseil international de la philosophie et des sciences humaines à l'Unesco. Il s'essaie également à l'écriture : "L' Amour est un plaisir", "Du côté de chez Jean". Ses œuvres dénotent insouciance et joie de vivre.
Mais c'est en 1971 que débute réellement sa carrière littéraire, avec la parution de "La Gloire de l'Empire", Grand prix du roman de l'Académie française. Académicien, il ne néglige pas pour autant son statut de directeur au journal Le Figaro. Aspirant à un monde "traditionnellement moderne", il insuffle à ses écrits un peu de lui et ce n'est pas pour déplaire ! Mais, il ne fait pas que parler de lui-même et transmet à la nouvelle génération des réflexions philosophiques comme "Le Rapport Gabriel" ou encore "Presque rien sur presque tout".
En 2003, "C'était bien" raconte la vie de l'auteur et anticipe même sa mort.
Avec "Une fête en larme" en 2005, il tente l'originalité et, toujours en se mettant en scène, il se met à raconter son roman idéal à un journaliste.
Enfin en 2006, il se laisse aller et publie "La Création du monde", roman d'un nouveau genre pour lui et très attendu par la critique littéraire.
En 2007 paraît son nouveau roman "Odeur du temps" aux éditions Héloïse d'Ormesson, maison dirigée par sa fille.
En 2009, il publie coup sur coup deux ouvrages, "L'Enfant qui attendait un train", un album jeunesse, et "Saveur du temps", le deuxième tome de ses chroniques au Figaro.
En 2012, il joue le rôle du Président de la République au côté de Catherine Frot dans "Les délices du palais" de Christian Vincent.
En 2013, il évoque son cancer de la vessie qui lui a coûté 8 mois de souffrances et de séjours à l'hôpital mais dont il est en rémission.
En 2014, épuisé par la maladie, il sort tout de même un nouveau roman "Comme un chant d'espérance".
Vient 2016, et ce petit manuel "Guide des égarés", un titre emprunté à Maimonide, qui lui permet en vingt-neuf chapitres de revenir sur ses thèmes de prédilection.
Évoluant dans un cadre libéral, il entame un parcours sans entrave. Élevé brillant, il accumule très vite les diplômes : agrégé et diplômé d'études supérieures de philosophie, normalien... Cet érudit ne s'arrêtera pas là. Jean Lefèvre, comte d'Ormesson, embrasse une carrière de haut fonctionnaire devenant président du Conseil international de la philosophie et des sciences humaines à l'Unesco. Il s'essaie également à l'écriture : "L' Amour est un plaisir", "Du côté de chez Jean". Ses œuvres dénotent insouciance et joie de vivre.
Mais c'est en 1971 que débute réellement sa carrière littéraire, avec la parution de "La Gloire de l'Empire", Grand prix du roman de l'Académie française. Académicien, il ne néglige pas pour autant son statut de directeur au journal Le Figaro. Aspirant à un monde "traditionnellement moderne", il insuffle à ses écrits un peu de lui et ce n'est pas pour déplaire ! Mais, il ne fait pas que parler de lui-même et transmet à la nouvelle génération des réflexions philosophiques comme "Le Rapport Gabriel" ou encore "Presque rien sur presque tout".
En 2003, "C'était bien" raconte la vie de l'auteur et anticipe même sa mort.
Avec "Une fête en larme" en 2005, il tente l'originalité et, toujours en se mettant en scène, il se met à raconter son roman idéal à un journaliste.
Enfin en 2006, il se laisse aller et publie "La Création du monde", roman d'un nouveau genre pour lui et très attendu par la critique littéraire.
En 2007 paraît son nouveau roman "Odeur du temps" aux éditions Héloïse d'Ormesson, maison dirigée par sa fille.
En 2009, il publie coup sur coup deux ouvrages, "L'Enfant qui attendait un train", un album jeunesse, et "Saveur du temps", le deuxième tome de ses chroniques au Figaro.
En 2012, il joue le rôle du Président de la République au côté de Catherine Frot dans "Les délices du palais" de Christian Vincent.
En 2013, il évoque son cancer de la vessie qui lui a coûté 8 mois de souffrances et de séjours à l'hôpital mais dont il est en rémission.
En 2014, épuisé par la maladie, il sort tout de même un nouveau roman "Comme un chant d'espérance".
Vient 2016, et ce petit manuel "Guide des égarés", un titre emprunté à Maimonide, qui lui permet en vingt-neuf chapitres de revenir sur ses thèmes de prédilection.
source : site Babelio
Publication :Claude Tricoire - Bibliothèque diocésaine d'Aix et Arles
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